Le centre Pompidou

Publié le 29/06/2005 dans les catégories France et Monuments. Voir sur Google Earth


Le Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou, plus communément appelé Centre Georges-Pompidou, Centre Pompidou ou Centre Beaubourg, construit de 1971 à 1977, est un immeuble situé dans le quartier Beaubourg, dans le IVe arrondissement de Paris, près des Halles et du Marais. Conçu par Renzo Piano, Richard Rogers et Gianfranco Franchini, il héberge la bibliothèque publique d'information, le Musée National d'Art Moderne, ainsi que plusieurs espaces d'expositions temporaires.

Cette structure métallique composée de plateaux sans points porteurs intérieurs est très reconnaissable : elle a été décrite par des critiques comme une raffinerie dans le centre de la ville. Toutes les circulations verticales, personnes et fluide sont rejetées en périphérie, les tuyaux extérieurs colorés contituent une particularité de l'immeuble. Les conduites pour l'air conditionné sont bleues, les tuyaux d'eau sont verts et les lignes électriques sont jaunes. Les ascenseurs sont rouges. Les canalisations blanches sont des gaines de ventilation pour les parties souterraines. Même les poutres métalliques qui composent la structure sont apparentes.

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Toulouse: la place du Capitole

Publié le 29/06/2005 dans les catégories France et Monuments. Voir sur Google Earth


Très fréquentée de jour comme de nuit, la Place du Capitole est un symbole de l'indépendance des toulousains. En effet, ce sont les Capitouls qui obtinrent du roi la destruction de tout un pâté de maisons pour construire une grande place donnant sur le Capitole. En contrepartie, en son centre devait être érigée une statue équestre de Louis XIV. La Place Royale n'a jamais vu de statue. Les maisons ne furent détruites que peu à peu, la place actuelle ne fut totalement déblayée qu'en 1792.

Au fil de l'histoire politique de la ville, la place a été nommée successivement Place Royale puis Place de la liberté, Place d'Armes, Place Commune, Place de la Mairie, Place impériale, et enfin Place du Capitole en 1848.

La place a fait l'objet d'une rénovation récente et est ornée d'une croix occitane.

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Le cratère de l'ex-usine AZF

Publié le 29/06/2005 dans les catégories France et Insolite. Voir sur Google Earth


Le 21 septembre 2001, à 10 h18, un stock d'environ 400 tonnes d'ammonitrate (engrais à base de nitrate d'ammonium) y a explosé, creusant un cratère de près de 30 mètres de diamètre et d'une dizaine de mètres de profondeur.

Le bilan fait état de 30 morts, dont 21 employés du site, plus de 2500 blessés graves, et près de 8000 blessés légers.

L'explosion a causé des destructions importantes dans la partie sud-ouest de la ville, dont de très nombreux logements, plusieurs entreprises et quelques équipements (piscines, gymnases, salles de concert, lycée Déodat-de-Séverac). Les dégâts (murs lézardés, portes et fenêtres enfoncées, toitures et panneaux soufflés ou envolés, vitres brisées...) ont été visibles jusqu'au centre-ville.

Et pour l'anecdote: à la demande de la députée de la zone concernée, la combinaison de lettres AZF n'a pas été utilisée sur les plaques d'immatriculation des véhicules du département : on est passé directement de la combinaison 999 AZE 31 à la combinaison 1 AZG 31.

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Google Earth est disponible

Publié le 29/06/2005 dans les catégories International et News.

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Google vient de mettre en ligne un nouveau logiciel: Google Earth. Celui-ci exploite les même données que Google Maps mais propose beaucoup de nouveaux services. Une fois l'application téléchargée sur votre poste (voir ci dessous pour la configuration minimum), vous pourrez effecture des recherche comme dans Google Maps et sauvegarder le résultat de ces recherches, naviguer sur les cartes comme si vous étiez en vol, voir le terrain avec un effet de 3D...

Le logiciel existe en plusieurs versions: free, plus et pro.

Dans l'ensemble, le résultat est impressionnant, particulièrement les effets d'animation qui sont très réussis: il est possible de plonger depuis l'espace vers un point précis de la carte avec une animation fluide.

Pour en profiter, il vous faudra la configuration minimum suivante:

Windows 2000, XP
Processeur: Intel® Pentium® PIII 500 MHz
RAM: 128MB
Disque 200Mo
Carte graphique: 16Mo VRAM
Ecran: 1024x768, 32-bit
Connexion réseau: 128 kbps

La connexion réseau est bien entendu indispensable car les images ne sont pas stockées sur votre ordinateur.

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Mont Saint Helène

Publié le 28/06/2005 dans les catégories Etats-Unis et Nature. Voir sur Google Earth


Le mont Saint Helens est un volcan situé au nord de la chaîne des Cascades dans l’État de Washington, au nord-ouest des États-Unis, qui paraissait s'être endormi depuis plus d'un siècle.

Le 27 mars 1980, à la suite d'un fort séisme, tout le flanc nord du volcan s’effondra et provoqua une avalanche de boues et de roches de plus de 2 kilomètres cube. Depuis quelque temps déjà, les scientifiques avaient pu observer un gonflement des flancs de la montagne. Après son écroulement, le sommet est passé d'une altitude de 2 950 m à 2 549 m, soit 401 m de moins. L’éruption a creusé un large cratère (ou caldeira) en fer à cheval, profond de 600 m.

Le 18 mai 1980, lors de l'éruption explosive, des fragments de toutes tailles jaillirent en gerbe depuis le sommet, puis il y eu une explosion brutale de cendres et de vapeur, qui s'entendit jusqu'à 500 km. La fumée et la masse de cendres qui s'échappaient du sommet du volcan étaient si denses et si rapides qu'en quelques minutes, la colonne atteignit la hauteur de 40 km. Les coulées de boue submergèrent et détruisirent des dizaines de milliers d'hectares de forêts, emportant d'énormes troncs d'arbres et des rochers qui détruisirent toutes les infrastructures routières.

L'ancienne vallée de la rivière Columbia fut comblée par 150 m de dépôts et un total de 38 000 hectares de forêts laissèrent la place a autant de collines arides et grises. 57 personnes trouvèrent la mort parmi des personnes qui avaient refusé l'évacuation, des scientifiques et des journalistes. Par la suite d'autres phases explosives se sont produites.

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